VŒUX 2017
Chers amis, nous nous retrouvons comme chaque année pour ces
traditionnels vœux de nouvelle année qui sont pour moi l’occasion de
retracer les événements qui ont marqué notre communauté paroissiale et
de mettre l’accent sur quelques chantiers en cours pour que nous
continuions à être les disciples missionnaires que le Seigneur attend.
A la même époque l’année dernière, je m’apprêtais à rejoindre la ville
de Rome et plus particulièrement le séminaire français pour participer à
un colloque dans le cadre de l’année de la miséricorde. Cette année de
la miséricorde proposée par le pape François nous l’avons vécue sur
notre paroisse d’une manière particulière lors de la journée du 19 mars,
fête patronale de notre paroisse, fête de la miséricorde. Ce fut
l’occasion pour un certain nombre de paroissiens, pour les jeunes et
leurs parents de découvrir ou d’approfondir le sens profond du sacrement
de la réconciliation, la fidélité en amour de notre Dieu, Père des
miséricordes, son désir de venir jusqu’à nous pour nous relever et nous
aider à reprendre la route. Personnellement, cette année de la
miséricorde a été un encouragement à rejoindre, à écouter, à me faire
proche des hommes et des femmes, blessés dans leur vie de couple, dans
leur situation familiale et qui ont pu se sentir un moment jugé par
l’Eglise ou en tout cas par tel ou tel propos de chrétien. J’ai mieux
pris conscience qu’il est toujours facile de juger les personnes selon
les apparences, selon leur histoire, selon leur choix de vie, selon leur
comportement extérieur mais qu’il était nécessaire de regarder le cœur
de ces personnes pour mieux les comprendre, mieux les accepter, mieux
les aider. Personne ne devrait se sentir exclu ou rejeté de l’Eglise,
d’une communauté paroissiale, d’un groupe, d’un mouvement d’Eglise. Nous
devons toujours y être attentifs pour que notre communauté paroissiale
soit toujours, selon l’expression du pape François dans la bulle
d’indiction du jubilé de la miséricorde, une oasis de miséricorde. (MV
13) La crédibilité de l’Eglise passe par le chemin de l’amour
miséricordieux et de la compassion écrit encore le pape François. (MV
10) Il est bon de nous le redire encore une fois aujourd’hui.
Mais comment avancer sur ce chemin de la miséricorde sinon en nous
laissant rejoindre nous-même, en nous laissant toucher par le visage de
la miséricorde qu’est Jésus Christ lui-même. Nous avons continué durant
cette année 2016 à proposer des temps privilégiés pour goûter la parole
de Dieu, pour vivre des temps d’intimité avec le Seigneur, pour nous
porter les uns les autres dans la prière. Je n’oublie pas la retraite
paroissiale autour du thème de la miséricorde à l’abbaye de
Bellefontaine, retraite prêchée par Mgr Hubert Barbier venu aussi animer
la fête de la miséricorde. Quelques veillées de prière ont été proposées
autour des chants de Taizé à la veille de la Toussaint, avec la
communauté de l’Emmanuel dans le temps de l’avent pour prier pour la vie
et enfin lors de la semaine de la paix avec les sœurs mineures
franciscaine de saint François et de sainte Claire. Le temps
d’adoration, proposé chaque 1er vendredi du mois, dans l’Eglise de
Surgères de 17h à 18h30 nous permet encore de nous poser devant celui
qui s’expose à nous, de nous laisser regarder et aimer par lui. Oui, il
est toujours bon de _nous décharger sur Dieu de tous nos soucis, car
lui-même prendra soin de nous. 1 P 5, 7_ Comment ne pas nous réjouir
aussi des maisons d’Evangile sur notre paroisse qui, pour la troisième
année se sont lancées dans la lecture du livre des Actes des Apôtres.
Cette expérience est précieuse pour notre paroisse, pour notre diocèse.
Dans cette expérience se dessine peu à peu, et même si cela prendra
beaucoup de temps, quelque chose du visage de l’Eglise de demain : de
petites communautés fraternelles qui, se retrouvant pour la prière à
travers l’écoute de la Parole de Dieu deviennent des signes de la
présence de Dieu au milieu des villages, des quartiers où elles
naissent. Ces fraternités, ces maisons d’Evangile ne sont pas des lieux
d’étude de la bible, ce ne sont pas non plus des lieux de formation en
théologie ou en exégèse mais ces maisons d’Evangile font de l’Eglise,
comme l’exprimait saint Jean Paul II dans sa lettre apostolique au début
du nouveau millénaire, _la maison et l’école de la communion_. C’est
cela qui est en jeux. C’est en effet bien cela que nous sommes invités à
vivre dans cette proposition. Grandir dans la communion. Car, comme je
vous le dis souvent, il n’y a que la communion qui est missionnaire.
Nous ne serons missionnaires, témoins de l’Evangile que dans la mesure
où nous grandirons dans la fraternité, dans la communion au sein même de
notre communauté paroissiale. D’autres propositions paroissiales ou même
plus personnelles existent sur notre secteur, comme les groupes de
prière des mères, le groupe du rosaire, ou d’autres groupes de prière
ici où là. Ils témoignent de la vitalité de notre communauté
paroissiale.
Cette vitalité de notre communauté paroissiale je l’ai perçu tout au
long de l’année dans l’investissement de beaucoup. Souvent il m’est
arrivé de terminer ma journée en rendant grâce à Dieu pour la générosité
des paroissiens, leur investissement, leur disponibilité, leur
créativité. Avec saint Paul dans sa lettre aux Philippiens j’ai une
nouvelle fois envie de dire combien _Je rends grâce à mon Dieu chaque
fois que je fais mémoire de vous. À tout moment, chaque fois que je prie
pour vous tous, c’est avec joie que je le fais, à cause de votre
communion avec moi, dès le premier jour jusqu’à maintenant, pour
l’annonce de l’Évangile._ 1 Ph 3-5. Il est toujours difficile de citer
tout le monde au risque d’en oublier. Alors un grand merci à tous mes
frères et sœurs en Christ qui d’une manière ou d’une autre prennent à
cœur l’annonce de l’Evangile auprès des enfants en catéchèse, auprès des
jeunes en aumônerie, auprès des familles dans les étapes importantes de
leur vie, du baptême jusqu’à la naissance dans la vie éternelle, auprès
des adultes en préparation au baptême. Un grand merci aussi à tous mes
frères et sœurs qui, de bien des manières, prennent à cœur le service du
plus petit, du plus fragile et du plus pauvre, d’une manière discrète au
cours de visites, de soutiens particuliers ou dans des associations
comme le Secours Catholique, le CCFD terre solidaire, dans des
associations laïques ou par le biais de mouvements ou de services
d’Eglise comme le Service Evangélique des malades, Foi et Lumière ou
encore cette belle initiative dans le quartier Yolande auprès de
quelques femmes du quartier. Je me réjouis de la belle collaboration,
depuis plusieurs années maintenant, qui s’est mise en place pour
l’organisation et l’animation du repas solidaire à l’approche des fêtes
de Noël. Un grand merci enfin à mes frères et sœurs qui nous permettent
de célébrer dignement et simplement dans l’action de grâce les
merveilles de Dieu, je pense particulièrement aux équipes liturgiques,
aux servants d’autel, à celles et ceux qui embellissent nos églises par
l’entretien des lieux, par leur fleurissement mais aussi par l’animation
musicale, la chorale saint Benoît, tous les organistes et les musiciens
qui interviennent chaque année et particulièrement le groupe des jeunes
qui anime les messes des familles chaque mois. Ainsi sont honorées les
trois grandes missions que le Seigneur nous a confier : annoncer,
célébrer et servir le Christ.
Dans une interview réalisée par Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti, le
pape François parlait ainsi de l’Eglise : « _Une Eglise qui se contente
d’administrer, qui vit repliée sur elle-même, est dans la même situation
qu’une personne enfermée : elle s’atrophie au physique et au mental.
Elle se détériore, comme une pièce close envahie par la moisissure et
l’humidité. Une Eglise qui ne parle que d’elle vit la même chose qu’une
personne qui ne pense qu’à elle, elle devient paranoïaque, autiste. Il
est vrai qu’en descendant dans la rue, on risque comme n’importe qui,
d’avoir un accident. Mais je préfère mille fois une Eglise accidentée
plutôt qu’une Eglise malade. Une Eglise qui se contente d’administrer,
de conserver son petit troupeau, est une Eglise malade. Le berger qui
s’enferme n’est pas un véritable pasteur, mais un « peigneur » qui passe
son temps à faire des frisettes au lieu d’aller chercher de nouvelles
brebis _». Je me sens proche de la pensée du pape François. Cette vision
de ce que doit être l’Eglise, de ce que doit être le pasteur je l’ai
portée depuis 7 ans que je suis avec vous à travers les projets que nous
avons, avec les Equipes Pastorales successives, mis en place, à travers
les priorités qui ont été les miennes, aussi bien dans mon
investissement paroissial que dans les relations que j’ai essayées et
essaye encore de tisser. Pour moi, le curé ne doit pas vouloir s’occuper
de tout, tout prendre en main, d’autant plus, que sur la paroisse saint
Joseph il y a beaucoup de compétences, beaucoup de savoirs faire qu’il
s’agit d’encourager et d’accompagner. J’ai essayé de rejoindre les
brebis qui s’étaient éloignés de la bergerie, celles qui pensaient ne
pas avoir le droit de faire partie de la bergerie, celles qui ne
savaient pas qu’il existait une bergerie où elles pouvaient trouver
repos, soutien, réconfort, nourriture pour leur vie. A travers mes
fonctions diocésaines, je rencontre trop de prêtres qui se sont laissés
enfermer dans une gestion administrative de leur paroisse, qui se sont
laissés prendre par une organisation bien installées sans doute depuis
bien trop longtemps où il s’agit surtout de ne rien changer ou de faire
comme on a toujours fait, qui se sont laissés accaparer par des
problématiques qui, si elles font encore exister quelques-uns ou
quelques-unes, ne font pas avancer le Royaume et qui ont alors perdu la
joie profonde qui fait vivre. Merci mes amis de m’avoir permis d’être
pleinement prêtre au service de la communauté qui m’a été confiée mais
aussi et surtout de ce peuple nombreux qui vit sur notre terre
surgérienne. Merci de m’avoir aidé à déployer la dimension missionnaire
de mon ministère. Lorsque vous accueillerez le pasteur qui vous sera
envoyé lorsque sera venu pour moi le temps de vous quitter, aidez-le
ainsi à goûter cette joie de la mission en ne l’enfermant pas dans un
type de ministère qui ne correspond plus au temps dans lequel nous
sommes.
Je citerai pour terminer quelques joies de cette dimension missionnaire
partagée avec l’Equipe pastorale, avec le père Jean Marie et les prêtres
qui ont été un moment avec nous (le père Martin, le père Jean Pierre du
Burundi, le père Alphonse d’Inde), avec les diacres (Jean Marie et
Michel) et les animatrices pastorales (Patricia Capon et Sr Bénédicte
Buchot), avec la communauté des sœurs de Muron et sœur Antoinette. Je
les remercie tous pour leur présence et leur investissement à mes côtés
et aussi leur capacité à me supporter et à partager la mission avec moi.
Dans cet appel à être une « Eglise en sortie » je ne peux pas ne pas
évoquer la mission caravane. Ce projet a permis de vivre une plus grande
proximité avec les habitants des villages de notre paroisse. Dans une
paroisse qui comprend 19 communes, comment continuer à être proche de
chacun, comment assurer une présence d’Eglise dans les villages ? Tel
était le souci que nous portions en Equipe Pastorale. Durant deux ans,
je suis parti 4 jours par mois dans les villages de la paroisse, en
vivant dans la caravane. Il s’agissait de rejoindre tous ces villages
pour rencontrer leurs habitants, visiter les malades, accueillir dans la
caravane celles et ceux qui désiraient un renseignement, un soutien, un
conseil, une confession… tout simplement parler. Célébrer la messe
tous les jours dans le village. Pour beaucoup cette visite a été
l’occasion de reprendre contact avec la communauté chrétienne, parfois
même de se réconcilier avec l’Eglise. Je peux témoigner que cette
proximité a permis à un certain nombre de personnes de commencer une
démarche catéchuménale puisque deux adultes se préparent au baptême, un
autre adulte à la 1ere communion. Le projet de la caravane a dû
s’arrêter, faute de temps mais nous avons voulu poursuivre dans cette
logique missionnaire en reprenant la route avec le minibus. Cette
fois-ci le projet est porté par une petite équipe plus particulièrement
quelques chrétiens du village visité, quelques catéchistes, quelques
animateurs d’aumônerie. Je crois que c’est quelque chose qu’il faut
continuer à travailler.
Dans la même dynamique je salue l’initiative de quelques paroissiens
qui, comprenant l’enjeu de cette démarche, ont proposé, dans la commune
où ils résident, une animation pour les enfants du village autour de la
fête de Noël ou de la fête de Pâques. Je pense particulièrement au
village de St Mard, de Muron, de Genouillé, de St Félix et de Vouhé,
saint Germain de Marencennes. Tout cela va dans le bon sens et même si
c’est encore petit, c’est plein d’espérance pour la suite. Nous
percevons bien que nous entrons dans une époque nouvelle où nous devons
sans cesse inventer, imaginer de nouvelles manières d’annoncer aux
enfants et aux jeunes le Christ ressuscité. Je pense que nous devons
aller plus loin dans nos propositions et pourquoi pas de repenser même
les dimanches matin. Je réunirai très prochainement, le mercredi 25
janvier, ces personnes et d’autres qui veulent prendre au sérieux cet
appel à être des disciples missionnaires au sein de notre paroisse.
Au-delà des belles intentions, des grandes déclarations et des belles
phrases, il faut aussi un moment passer à l’action. C’est le sens de
cette rencontre que nous initions avec l’Equipe Pastorale. Dans le cadre
de la préparation au baptême, nous avons aussi cette année 2016 mis en
place une étape supplémentaire dans la célébration du baptême. En effet,
depuis plusieurs mois, un temps d’accueil et le rite de la signation est
célébré dans l’Eglise du village des parents qui présentent un enfant au
baptême. Cette célébration, animé par un membre de l’Equipe Pastorale,
des membres de l’équipe de préparation au baptême et des chrétiens du
village participe aussi à ce désir d’une plus grande proximité avec les
villages et favorise les liens avec ces jeunes familles résidant sur
notre paroisse. Je remercie particulièrement l’équipe qui porte cette
préparation et gère l’organisation. Enfin une équipe de paroissiens a
repris l’initiative des dimanches autrement qui favorisent la rencontre,
la convivialité et le partage dans les salles des fêtes des communes. Je
note aussi, début juillet la nuit des Eglises qui a été vécu autour et
dans l’Eglise de Surgères. Encore un projet pour ouvrir notre paroisse,
la faire mieux connaître. Vous le voyez les initiatives ne manquent pas.
Je vous encourage à poursuivre et à être encore plus audacieux.
Durant l’année passée, les collégiens, plus d’une trentaine, ont vécu un
beau pèlerinage à Pontmain et au Mont St Michel. Des jeunes ont eu la
joie de vivre les Journées Mondiales de la Jeunesse à Cracovie. Lors de
ces journées, le pape François s’est adressé aux jeunes en leur disant :
_« Le temps qu’aujourd’hui nous vivons n’a pas besoin de jeunes-canapés,
mais de jeunes avec des chaussures, mieux encore, chaussant des
crampons. Il n’accepte que des joueurs titulaires sur le terrain, il n’y
a pas de place pour des réservistes. Le monde d’aujourd’hui __vous_ [1]_
demande d’être des protagonistes de l’histoire, parce que la vie est
belle à condition que nous voulions la __vivre_ [2]_. » _Je suis
toujours émerveillé devant l’investissement de ces jeunes dans notre
communauté, de leur disponibilité. Cette année, deux lycéennes ont
accepté de prendre en charge les jeunes de l’aumônerie de 5ème. Il m’a
été rapporté un jour par un confrère prêtre qu’il se disait que je
n’aimais pas les vieux, parce que je leur demandais parfois de laisser
la place après des années de services précieux rendus à la paroisse à
d’autres plus jeunes, ou encore parce que je n’allais que vers les
jeunes. J’ai beaucoup de respect pour les anciens, je sais être proche
d’eux lorsque cela est nécessaire mais notre Eglise doit aussi se
préparer aux prochaines années et celles-ci se construiront, certes en
s’appuyant sur le témoignage des anciens, sur leur soutien, leur
expérience mais aussi sur l’engagement des plus jeunes qui devront
répondre aux nombreux défis qui se poseront à eux. Je voudrais remercier
tous les paroissiens très souvent sollicités financièrement pour aider
les jeunes à vivre des événements forts en Eglise, comme hier, lors du
rassemblement des collégiens à Chatelaillon pour la fête de l’Epiphanie.
Pour terminer, je voudrais me réjouir encore avec vous de la semaine de
la paix que nous avons vécu fin décembre. Ce fut l’occasion d’ouvrir
notre paroisse à d’autres réalités, d’autres sensibilités et de
construire avec d’autres un beau projet porteur de sens. Sans doute y
aurait-il pu y avoir un peu plus de participants mais c’est sans doute
le début d’une proposition qui ne demande qu’à être poursuivie. Car en
définitive n’est-ce pas à cette paix que nous aspirons tous pour nos
familles, pour notre communauté chrétienne, pour notre société, pour
notre monde. L’année 2016 aura été marquée en France comme dans d’autres
pays par les attentats meurtriers. Plus près de nous, nous n’oublions
pas le drame atroce de l’accident de bus, il y aura bientôt un an,
prenant la vie de 6 jeunes scolarisés à Surgères. Nous pensons aussi aux
paroissiens qui nous ont quitté cette année.
Enfin, nous gardons en mémoire le témoignage des jeunes irakiens à
l’occasion de l’inauguration de l’exposition sur la grande aventure des
chrétiens d’Orient. Nous aurons la grande joie et l’émotion d’accueillir
les familles irakiennes de La Rochelle et de Royan à l’occasion de la
messe dimanche prochain en rite syriac. C’est aussi une belle manière
d’ouvrir notre communauté chrétienne aux dimensions universelles de
l’Eglise.
Je rends grâce pour tout ce que nous avons vécu encore cette année 2016.
Notre paroisse est belle, missionnaire, fraternelle. Elle fait parler
d’elle non seulement dans le diocèse mais aussi à l’extérieur des
frontières de la Charente Maritime. Raison de plus pour continuer à nous
inscrire dans cette dynamique missionnaire. Raison de plus pour essayer
de favoriser la communion entre nous dans la diversité de nos vocations,
de nos fonctions, de nos sensibilités. Dès aujourd’hui je vous invite au
repas paroissial qui aura lieu le dimanche 29 janvier à 12h30 à Castel
Park à Surgères avec pour seule ambition de vivre un temps d’amitié et
de convivialité. Je terminerai cette relecture en reprenant les mots de
saint Paul dans la lettre aux Philippiens déjà cités plus haut. « _J’en
suis persuadé, celui qui a commencé en vous un si beau travail le
continuera jusqu’à son achèvement au jour où viendra le Christ Jésus. Il
est donc juste que j’aie de telles dispositions à l’égard de vous tous,
car je vous porte dans mon cœur, vous qui communiez tous à la grâce qui
m’est faite dans mes chaînes comme dans la défense de l’Évangile et son
annonce ferme. Oui, Dieu est témoin de ma vive affection pour vous tous
dans la tendresse du Christ Jésus_. »
Chers amis, chers frères et sœurs, chers paroissiens, je vous adresse
tous mes vœux de paix, de santé pour cette année 2017.
Père Mickaël Le Nezet, curé
Links:
——
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[2] conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/vivre/